AYO

Depuis le succès planétaire de son album acoustique Joyful en 2006 écrit en hommage à sa mère, Ayo n’en finit pas de nous envoûter. Sa voix suave et puissante, reconnaissable entre toutes, ses mélodies caressantes et la sincérité de ses textes font chavirer le cœur du public qui aime à voyager à ses côtés.

Joy Olasunmibo Ogunmakin, connue mondialement sous le nom de scène Ayo, le bienvenu « joie » en yoruba, est née en Allemagne d’un père nigérian et d’une mère tsigane roumaine. Un métissage culturel doublé d’un métissage musical (soul folk, pop, reggae) qui fait son originalité et sa richesse, parachevé par des textes intimes, sincères et touchants. Si son ascension au plus haut niveau des charts fut fulgurante, son talent sans égal a immédiatement conquis le public français dès ses premiers titres Down on my knees et And it’s supposed to be love. Celle qui s’avoue fan de Marvin Gaye, Bob Marley ou Jimmy Cliff se raconte au fil d’albums au ton très personnel : Royal en 2020, Ticket to the world en 2013, Billy-Eve enregistré en 2011 sous la houlette de Matthieu Chedid, Gravity at last... Sur scène, la divine Ayo n’hésite pas à rallonger quelques-uns de ses morceaux pour faire durer le plaisir ou rajouter des improvisations en solo et de la spontanéité car, dit-elle, « c’est un moment de partage. J’aime voir le concert comme un moment intimiste ».